jeudi 30 octobre 2025

Mon jardin

J’ai un précieux jardin à entretenir

Un espace personnel où je dois travailler.

Mon cœur est un sol très spécial

Où le bien ou le mal peuvent être semés.


Le jardin fleurit quand le bien est semé

L’amour et l’espoir jaillissent de tous côtés.

La bonté se répand dans toutes les directions

Il y a d’excellents fruits sur les arbres des émotions.


Je regarde le jardin et je vois sa sublime perfection

Je ressens la paix de l’esprit et la joie dans le cœur.

Un torrent de bénédictions est répandu

La pluie venant de Dieu renouvelle la terre.


Cependant, certains intrus peuvent apparaître

Dans les ténèbres et les ombres, ils essaient de se cacher.

Ce sont les ennemis du jardin de ma vie

Ils veulent que mon bonheur soit détruit.


Ils piétinent et coupent les plantes, et répandent le mal

Ils essaient sans relâche de tuer le bonheur.

Ils veulent que toute la bonté soit arrachée

Ils veulent voir la terre sèche, sans vie, sans rien.


Beaucoup de ces ennemis sont arrivés déguisés

Ils ont dit qu’ils m’aideraient dans mon travail.

Ils ont promis qu’ils seraient toujours avec moi

Ils ont promis qu’ils seraient mes meilleurs amis.


Ils ont été envoyés par le malin, le destructeur

Celui qui est le grand ennemi du Seigneur.

Il ne peut voir le bien nulle part

Il envoie bientôt ses serviteurs pour perturber.


Plus grand que l’ennemi du jardin est son Créateur

Plus grande que le mal est la bonté du Seigneur.

Même si l’ennemi envoie toute son armée

Devant Dieu, ils ne sont rien de plus que des insectes.


Le Seigneur chassera tout le mal de mon jardin

Aucun fléau n’aura de force contre moi.

Dieu prendra soin de mon cœur tous les jours

Montrant sa bonté infinie sur ma vie.


Ce poème fait partie du livre Paroles de Foi : Un chemin vers Dieu.

Voir le livre :

https://books2read.com/u/38q0d7

mardi 28 octobre 2025

L’Arbre dans la Cour

Heureux l’homme qui a trouvé la sagesse et l’homme qui possède l’intelligence ! … Elle est plus précieuse que les perles, elle a plus de valeur que tout ce que tu pourrais désirer … Elle est un arbre de vie pour ceux qui s’attachent à elle, et ceux qui la possèdent sont heureux. Proverbes 3:13, 15, 18

Lorsque le vieux Isaque est décédé, il a laissé à ses deux petits-fils, Miguel et Gabriel, un héritage particulier. À Miguel, l’aîné, un courtier en bourse pragmatique, il a laissé son portefeuille d’actions, un patrimoine solide accumulé au fil des décennies. À Gabriel, un professeur d’histoire qui avait plus de livres que d’argent, il a laissé la vieille maison familiale et un billet.

Le billet disait : “Mon fils, je te laisse le plus grand trésor. Dans la cour, tu trouveras l’arbre de vie. Prends-en soin, et il prendra soin de toi.”

Miguel rit en apprenant le partage.

“Grand-père a toujours été poétique,” dit-il, tandis que son application calculait déjà les dividendes des actions. “Tu as hérité d’un vieux terrain et d’une métaphore. J’ai hérité de l’avenir.”

Gabriel, cependant, connaissait son grand-père. Il savait que ses paroles n’étaient jamais vides. Il déménagea dans la vieille maison, un endroit simple, mais rempli de souvenirs. Dans la cour arrière, il y avait un magnifique et vieux chêne. Ses racines gonflaient la terre et sa cime semblait toucher le ciel. Gabriel comprit. C’était “l’arbre de vie”.

Alors que Miguel plongeait dans la frénésie du marché financier, Gabriel plongeait dans les livres et les journaux qu’il trouva dans la bibliothèque de son grand-père. Il y avait des volumes d’histoire, de philosophie, de théologie et, surtout, les notes personnelles d’Isaque dans ses Bibles. Chaque livre lu, chaque réflexion du grand-père déchiffrée, était comme arrosé les racines de cet arbre. Il ne cherchait pas la richesse ; il cherchait la sagesse.

Les années passèrent. Miguel multiplia son patrimoine. Il devint immensément riche, un nom respecté dans les rubriques mondaines. Mais sa vie était une tempête. Des mariages brisés, des amitiés intéressées, un vide que même l’appartement le plus cher ne parvenait pas à combler. La recherche incessante de plus d’argent et de plus de succès l’avait laissé anxieux et solitaire. Ses chemins étaient ceux d’un homme riche, mais pas ceux d’un homme en paix.

Gabriel, quant à lui, s’épanouit à l’ombre du chêne. La sagesse qu’il acquit ne le rendit pas riche, mais prospère. Il apprit de son grand-père l’art d’écouter, l’importance du pardon, la valeur de la communauté. Il devint le conseiller officieux du quartier. Ses élèves l’adoraient, non seulement pour ses cours d’histoire, mais pour ses leçons de vie. Il se maria, eut des enfants, et sa maison, bien que simple, était toujours remplie de rires et d’amis. Ses chemins étaient agréables et remplis de paix.

La crise financière de 2029 frappa le marché comme un ouragan. Miguel, qui avait tout misé sur des investissements à haut risque, perdit presque tout. Le château de cartes s’effondra. Seul et brisé, il se rendit à la seule propriété que la famille possédait encore : la vieille maison de son grand-père.

Il trouva Gabriel assis sous le chêne, lisant à ses enfants. L’endroit rayonnait d’une paix que Miguel n’avait pas ressentie depuis des décennies.

“Tu avais raison, Biel,” dit Miguel, la voix brisée par la défaite. “Grand-père t’a donné le vrai trésor. J’ai couru après le vent et je me retrouve sans rien.”

Gabriel ferma le livre et regarda son frère avec compassion.

“Tu ne te retrouves pas sans rien, Miguel. Tu nous as toujours.” Il montra la maison du doigt. “Il y a une chambre d’amis qui t’attend. Ce que j’ai, je le partage avec toi.”

Cet après-midi-là, en regardant ses neveux jouer, Miguel comprit enfin le billet de son grand-père. L’”arbre de vie” n’était pas le chêne. C’était la sagesse que son grand-père avait plantée et que Gabriel avait cultivée. Une sagesse qui produisait des fruits que l’argent ne pouvait acheter : le contentement, des relations solides, la paix d’esprit et, surtout, un refuge sûr pour un frère naufragé.

Il avait perdu ses pièces d’or, mais son frère lui offrait quelque chose d’infiniment plus précieux. Il était invité à se reposer à l’ombre du véritable arbre de vie.

(Fabriqué avec l'IA)

Ce conte fait partie de mon livre Sagesse Quotidienne

https://books2read.com/u/m2ADyk

dimanche 26 octobre 2025

Sans excuses

« Je ne peux pas! Je n’y arrive pas!

Tout est contre moi!

Tout le monde me déteste.

Personne ne veut m’aider. »


Ces mots montrent de l’infantilisme

Et sont chargés d’apitoiement sur soi.

La personne a décidé comment les choses sont

Et croit en son imagination.


Ces pensées limitent ses actions

Ces croyances affectent ses décisions.

La personne ne voit aucune issue

Elle a accepté que sa vie est douloureuse.


Cette malheureuse situation doit changer immédiatement

La personne doit changer le répertoire dans son esprit.

Elle doit rechercher la croissance et le succès

Elle doit se battre pour tous ses rêves.


Il est temps de prendre ses responsabilités

C’est la seule façon de changer la réalité.

Il ne sert à rien de rester immobile et de se lamenter

Il n’y a pas de succès quand on se rabaisse.


La personne doit arrêter toute excuse

Elle doit se lever et aller courageusement au combat.

C’est la seule façon d’évoluer

La seule façon de réussir quelque chose.


Pendant le combat, l’aide sera nécessaire

La personne aura besoin de quelqu’un pour l’accompagner.

Il n’y a qu’un seul qui soit assez fort

Il n’y a qu’un seul qui la fera avancer.


Seul le Seigneur Dieu pourra l’aider

Seul le Seigneur pourra la fortifier.

Avec l’aide de Dieu, tout sera surmonté

Un caractère victorieux sera forgé.


Plus jamais des paroles dépressives ne seront prononcées

Cela sera mort, cela ressemblera à une autre vie.

Il y aura la confiance et la protection du Seigneur

Même s’il y a des combats, il y aura sa faveur.


Ce poème fait partie du livre Paroles de Foi : Un chemin vers Dieu.

Voir le livre :

https://books2read.com/u/38q0d7

jeudi 23 octobre 2025

Les péchés d’Israël

Pendant longtemps, la nation d’Israël a péché,

Ils ont marché dans le péché, en oubliant le Seigneur.

Contre Dieu, ils ont fait ce qui était mal,

En faisant de nouveaux autels de tous côtés.


Le peuple a construit toutes sortes de statues,

Ils brûlaient de l’encens dans toute forêt.

Ils faisaient tout ce que Dieu avait interdit,

En suivant toutes sortes de dieux et d’idoles.


Tout se peuple, le Seigneur a averti,

Mais les conseils des prophètes, personne n’a écouté.

Ils ont continué à faire comme les autres nations,

En vivant tout le temps en pratiquant des abominations.


Le peuple a fait de nombreuses images de fonderie,

Ils ont brûlé leurs enfants en pratiquant l’abomination.

Ils croyaient aux augures et à la divination.

En plaçant de grands péchés dans leur cœur.


Même la tribu de Juda a aussi péché,

Le Seigneur s’est beaucoup irrité et de tous s’est éloigné,

Tout le peuple d’Israël a été emmené en captivité,

Payant pour les grands péchés qu’ils avaient commis.


Ce poème fait partie du livre Poésie Chrétienne Volume IV.

Voir le livre :

https://books2read.com/u/mKG0wV

mardi 21 octobre 2025

La Déviation Nécessaire

Mon fils, ne méprise pas la correction de l’Éternel et ne sois pas dégoûté lorsqu’il te reprend, car l’Éternel reprend celui qu’il aime, comme un père l’enfant qui a sa faveur. Proverbes 3:11-12

André avait un plan. Un plan parfait, méticuleusement dessiné dans son esprit et dans ses tableurs. Il obtiendrait son diplôme d’architecture avec mention, décrocherait un poste dans le prestigieux cabinet “Souza & Pires”, épouserait sa petite amie, Júlia, et, à trente ans, aurait son propre cabinet et une vie confortable. C’était un bon plan. Et, en tant que chrétien dévoué, il le présentait à Dieu dans ses prières, non pas comme une demande, mais presque comme une communication.

La première “correction” est venue sous la forme d’un e-mail. Le poste chez Souza & Pires, le poste de ses rêves, pour lequel il était le candidat le plus qualifié, avait été attribué à quelqu’un d’autre. André fut choqué, puis furieux.

“Seigneur, cela n’a aucun sens !” pria-t-il, la frustration débordante. “J’ai tout fait correctement !” Il rejeta la porte fermée, le voyant non pas comme une redirection, mais comme une erreur divine.

Déçu, il accepta un poste dans un petit cabinet sans prestige, qui travaillait principalement sur des projets de rénovation pour des communautés à faible revenu. Il se sentait comme un raté, un talent gâché sur des projets “mineurs”.

La deuxième “réprimande” fut encore plus douloureuse. Après leurs fiançailles, Júlia commença à prendre ses distances. Les conversations sur l’avenir devinrent tendues. Elle l’aimait, disait-elle, mais ne partageait pas sa foi.

“André, je ne peux pas être la femme qui va diriger un groupe de couples dans ton église,” confessa-t-elle finalement. “Je ne me vois pas dans ton avenir.” La rupture le laissa dévasté. Il se sentit abandonné, par elle et par Dieu.

Son plan était en ruines. La vie qu’il avait projetée avec tant de soin avait été démolie. Il se remplit d’amertume, se sentant comme un fils lésé par un Père qui ne l’écoutait pas.

C’est son propre père, un homme de peu de mots et de beaucoup de sagesse, qui lui donna une nouvelle perspective.

“Fils,” dit-il, un dimanche après-midi, “parfois, on demande à Dieu de nous guider, mais on n’accepte les conseils que s’ils nous mènent à la destination que l’on a déjà choisie. L’amour d’un père, ce n’est pas de donner à son fils tout ce qu’il veut. Parfois, le plus grand acte d’amour est de dire ‘non’ pour le protéger d’un chemin qu’il ne peut pas voire comme dangereux.”

Les mots s’enracinèrent dans le cœur blessé d’André. Il commença à considérer ses frustrations non plus comme des rejets, mais peut-être comme… une discipline.

Dans son travail “mineur”, il découvrit une passion qu’il ne connaissait pas. Concevoir des espaces fonctionnels et dignes pour des personnes qui ne pourraient jamais se payer un architecte lui apporta un sentiment de but qu’aucun gratte-ciel de verre ne pourrait jamais lui donner. Il apprit à écouter les gens, à comprendre leurs besoins réels. Il devenait un meilleur architecte et un meilleur homme.

Des mois plus tard, dans son église, il rencontra Patrícia. Elle était bénévole dans le même projet communautaire sur lequel il travaillait. La connexion fut instantanée, construite sur une base de foi partagée et d’un amour véritable pour le service. Avec Patrícia, il n’avait pas besoin d’expliquer sa foi ; il la vivait avec elle.

Un soir, des années plus tard, André était chez lui, aidant son fils à assembler un puzzle. Il était le propriétaire d’un cabinet d’architecture socialement responsable, marié à Patrícia et plus heureux qu’il n’aurait jamais imaginé qu’il soit possible.

Ce jour-là, il apprit que Souza & Pires avait déposé le bilan, impliqué dans un important scandale de corruption. Il apprit également que Júlia s’était mariée, mais que son mariage traversait de sérieuses difficultés.

Il regarda sa vie. Ce n’était pas le plan parfait qu’il avait dessiné. C’était quelque chose d’infiniment meilleur. Chaque porte fermée, chaque “non” douloureux, chaque déviation inattendue avait été, en réalité, la main d’un Père aimant le corrigeant, le réprimandant, le protégeant.

Il comprit enfin. La discipline du Seigneur n’était pas une punition, c’était un sauvetage. Et lui, en tant que fils que Dieu aimait, avait été suffisamment aimé pour que son chemin soit radicalement modifié, pour être guidé non pas vers la vie qu’il voulait, mais vers la vie dont il avait besoin.

(Fabriqué avec l'IA)

Ce conte fait partie de mon livre Sagesse Quotidienne

https://books2read.com/u/m2ADyk

dimanche 19 octobre 2025

Abomination en Israël

Quelques rois d’Israël ont fait pécher la nation,

Leurs idoles abominables, ils sont allés adorer.

Ils ne se souvenaient pas du Dieu d’Israël,

Ils ne se souvenaient pas du véritable Dieu des Cieux.


Tous sacrifiaient et brûlaient de l’encens,

L’idolâtrie dans cette terre était un consensus.

Elle commençait à partir de la maison royale,

Le roi était le premier à pratiquer le mal.


C’était un temps de grande tribulation,

Tous les peuples autour envahissaient la nation.

De nombreux trésors anciens ont été volés,

Les lieux qui étaient saints ont été profanés.


Tout ce mal était permis par le Seigneur,

Contre son peuple, Dieu s’est beaucoup irrité.

Chacun marchait par son propre chemin,

Chacun cherchait à adorer son idole.


Ceux qui étaient envoyés par Dieu étaient discrédités,

Chaque fois qu’un prophète surgissait, ils essayaient de le tuer.

Pratiquement personne ne voulait revenir au Seigneur,

Tous préféraient ces dieux sans amour.


Ce poème fait partie du livre Poésie Chrétienne Volume IV.

Voir le livre :

https://books2read.com/u/mKG0wV

jeudi 16 octobre 2025

Opportunité de Pardon

Le Seigneur donne toujours l’opportunité du salut,

Quand ils pèchent, son envoyé attirera leur attention.

Les envoyés de Dieu avertissent de la transgression,

Dieu veut le repentir et le changement dans le cœur.


Le Seigneur veut pardonner ceux qui se repentent avec sincérité,

Dieu veut recevoir ceux qui cherchent le chemin de la vérité.

Le Seigneur désire que beaucoup participent au salut,

Dieu est prêt à oublier les péchés de toute nation.


Car pour Dieu, il n’y a aucun type de favoritisme de personnes,

Il pardonne autant celle qui a été mauvaise que celle qui a été bonne.

Devant Dieu, même le plus parfait est pure méchanceté,

Personne n’obtiendrait le pardon de Dieu par sa propre bonté.


Dieu est très miséricordieux pour pardonner ses enfants aimés,

Même s’ils ne le méritent pas, le Seigneur oublie les péchés.

Il apporte une vie nouvelle là où régnaient la mort et la perdition,

Dieu accorde à ses enfants la très grande grâce du pardon.


Après avoir pardonné, le Seigneur veut que ses enfants ne pèchent plus,

Il a donné à tous une vie nouvelle pour ne pas revenir en arrière.

Le Seigneur espère avoir une grande amitié avec ses enfants,

Être de meilleurs amis pour qu’ensemble, ils habitent dans l’éternité.


Ce poème fait partie du livre Poésie Chrétienne Volume VI.

Voir le livre :

https://books2read.com/u/bO9yPK

mardi 14 octobre 2025

Les Greniers du Cœur

Honore l’Éternel avec tes biens et avec les premiers de tous tes produits !  Alors tes greniers seront abondamment remplis et tes cuves déborderont de vin nouveau. Proverbes 3:9-10

Sérgio regardait l’application de la banque et ressentait le nœud familier dans son estomac. Le salaire venait d’être versé, mais la sensation n’était pas de soulagement, mais d’anxiété. Son esprit était déjà en mode défense, calculant chaque centime, craignant chaque dépense imprévue. Pour lui, l’argent était synonyme de sécurité, et la sécurité était quelque chose dont il n’avait jamais assez.

Sa femme, Beatriz, et lui étaient chrétiens, mais leurs visions sur les finances étaient de planètes différentes. Beatriz croyait fermement à la dîme et à l’offrande, au fait de donner la “première partie” avec un cœur joyeux. Pour Sérgio, c’était mathématiquement illogique.

“Bia, on ne peut pas !” argumenta-t-il ce matin-là, en montrant l’écran de son téléphone. “Regarde le loyer, le paiement de la voiture, l’école des enfants. Après avoir tout payé, il ne reste presque rien. Donner dix pour cent tout de suite, c’est de l’irresponsabilité. C’est prendre à notre famille.”

“Mais la promesse, Sérgio…” répondit-elle d’une voix douce. “Il s’agit d’honorer Dieu en premier. C’est un acte de confiance, pas de comptabilité.”

“La confiance ne paie pas les factures,” rétorqua-t-il, mettant fin à la discussion.

Sérgio opérait avec la logique de la peur. Il donnait à Dieu les restes, ce qui restait une fois que toutes ses angoisses étaient apaisées. Et, invariablement, il ne restait jamais rien. Sa vie financière était un grenier perpétuellement presque vide. Il gardait chaque grain avec désespoir, et pour cette raison, il n’y avait jamais d’abondance, seulement la sensation constante de rareté.

Ce même mois, la petite église qu’ils fréquentaient annonça un projet spécial : la rénovation de la maison de madame Íris, une veuve âgée de la communauté dont le toit s’était effondré après une forte pluie. Beatriz rentra à la maison les yeux brillants.

“Sérgio, j’ai senti dans mon cœur que nous devions aider. J’ai pensé à donner l’argent que nous gardions pour changer la télévision.”

Sérgio sentit une vague de panique.

“La télévision ? Bia, on économise depuis six mois ! C’est notre argent, notre confort ! Íris a des enfants, il y a la mairie…”

“Elle n’a personne, Sérgio. Et nous, nous sommes l’église,” dit-elle, la fermeté de sa voix coupant l’air. “Honorer Dieu, ce n’est pas seulement avec la dîme. C’est avec ce que nous avons. Avec nos biens.”

La discussion fut longue et douloureuse. À la fin, épuisé, Sérgio céda, mais le cœur lourd, se sentant stupide. Il voyait l’argent quitter son compte non pas comme une offrande, mais comme une perte.

Le week-end, à contrecœur, il alla avec Beatriz et d’autres membres de l’église aidé aux travaux. En réparant la plomberie, il vit la joie sur le visage de volontaires qui avaient beaucoup moins que lui. Il vit Íris pleurer de gratitude en recevant un panier de provisions. Et il vit sa femme, Beatriz, le visage couvert de poussière, riant en peignant un mur, plus belle qu’il ne l’avait vue depuis des années.

Quelque chose en lui commença à changer. Cette joie, cette communauté, cette sensation de but… c’était un type de richesse que son relevé bancaire ne montrait pas.

Le lundi, il arriva au travail et son patron l’appela. “Sérgio, je sais que les choses sont difficiles pour tout le monde, mais la direction a approuvé une prime de performance pour ton équipe pour le projet du dernier semestre. Ce n’est pas beaucoup, mais c’est une reconnaissance.”

Le montant de la prime était presque exactement le même que celui que Beatriz et lui avaient donné pour la rénovation.

Sérgio resta paralysé devant son bureau. Le sceptique en lui criait “coïncidence”. Mais son cœur, pour la première fois, murmurait “providence”. Ce n’était pas un paiement, mais un clin d’œil de Dieu. Une affirmation.

Ce soir-là, il rentra chez lui, ouvrit l’application de la banque et fit quelque chose qu’il n’avait jamais fait auparavant. Avant de payer une facture, il transféra la dîme. Il donna la première partie.

Il n’y eut pas de miracle financier instantané. Mais le nœud dans son estomac avait disparu. Pour la première fois, il regarda le solde restant et ne ressentit pas de peur, mais de la paix.

Dans les mois qui suivirent, Sérgio et Beatriz continuèrent à pratiquer la générosité. Et des choses différentes commencèrent à arriver. Une promotion inattendue pour lui. Un travail à temps partiel qui tomba dans les bras d’elle. Des dépenses qui semblaient diminuer. L’argent, qui était auparavant une source de stress, semblait s’étirer d’une manière que sa logique ne pouvait expliquer.

Ses greniers matériels n’ont jamais été aussi remplis que ceux d’un millionnaire. Mais son grenier intérieur, celui de son cœur, était comblé. Et sa maison, autrefois tendue par l’anxiété de la rareté, commença à déborder. Non pas de vin, mais de quelque chose de bien plus précieux : une joie et une paix profondes, nées de la confiance de celui qui honore le Maître de tout, en premier.

(Fabriqué avec l'IA)

Ce conte fait partie de mon livre Sagesse Quotidienne

https://books2read.com/u/m2ADyk

dimanche 12 octobre 2025

Jésus t’appelle

Jésus t’appelle à la vie chrétienne,

Un temps nouveau et grandiose, tu auras.

Sur la croix, Jésus a accordé le salut,

Motif d’une grande célébration.


Allons dans les rues, annoncer et proclamer,

Après deux mille ans, le Seigneur ne changera jamais.

Jésus est le Seigneur, et son nom est Sauveur,

L’éternelle vérité, les chrétiens la proclament avec amour.


La vérité est que Jésus est l’unique chemin vers la vie éternelle,

Jésus est l’époux et les chrétiens, son épouse.

Une épouse préparée pour un temps de transformation,

Un temps où Dieu fait l’innovation.


Dieu prépare un nouveau lieu pour habiter,

Toutes les âmes ont un seul désir dans ce lieu,

Tout le temps au paradis est dédié à adorer,

Le peuple sauvé vivant dans une gloire perpétuelle, sans cesse.


Ce poème fait partie du livre Poésie Chrétienne Volume VI.

Voir le livre :

https://books2read.com/u/bO9yPK

jeudi 9 octobre 2025

Confiance

Sur quoi repose votre confiance ?

Est-elle basée sur un billet de loterie,

Ou sur le solde de votre compte d’épargne ?

Votre confiance est-elle dans ce que vous pouvez voir,

Où est-elle basée sur ce que vous pouvez faire ?


Avez-vous plus confiance en ce que quelqu’un a dit,

Ou avez-vous confiance en ce que le Seigneur a dit ?

Avez-vous confiance dans les choses matérielles,

Ou avez-vous confiance dans les mystères spirituels ?


Demandez-vous-en quoi, vous avez vraiment confiance !

Demandez-vous si vous avez vraiment foi en la Bible.

Demandez-vous si vous avez confiance au Seigneur,

Demandez-vous si vous l’avez accepté comme Sauveur.


Si vous croyez en Dieu, vous devez en être sûr,

Votre foi doit être comme une forteresse,

Pour que rien de mal ne puisse vous ébranler,

Et que rien au monde ne puisse vous contaminer.


Toute contamination vient nous décourager,

Le monde veut nous éloigner de notre foi en Dieu.

Inventant mille manières de nous attirer,

Nous promettant que nous obtiendrons tout avec de l’argent.


Les ressources humaines ne peuvent faire que peu de choses,

Certains domaines de votre vie peuvent se développer,

Mais en contrepartie, ils tromperont votre esprit,

Ils vous détourneront du chemin du Seigneur.


Sortez de ce qui vous éloigne du Seigneur,

Concentrez votre vie sur notre Sauveur.

Dieu veut sauver votre âme,

Pour cela, vous devez lui faire confiance.


Ce poème fait partie du livre Poésie Chrétienne Volume III.

Voir le livre :

https://books2read.com/u/4AlZ0e

mardi 7 octobre 2025

L’Algorithme de l’Âme

Ne te prends pas pour un sage, crains l’Éternel et détourne-toi du mal :  cela apportera la guérison à ton corps et un rafraîchissement à tes os. Proverbes 3:7-8

Tiago vivait dans un monde de données, de métriques et d’optimisation. À vingt-six ans, il était le PDG d’une startup à succès qui créait des applications de productivité. Sa devise, imprimée sur des t-shirts et des mugs au bureau, était “Si ça ne peut pas être mesuré, ça ne peut pas être amélioré”. Il était, à ses propres yeux, la personnification de la sagesse moderne.

Il appliquait cette logique à tout. Son régime alimentaire était calculé pour une performance maximale. Sa routine de sommeil était surveillée par des capteurs. Ses relations étaient évaluées en fonction d’”échanges de valeur” et de “synergie d’objectifs”. Il avait même créé un algorithme personnel pour prendre des décisions, pondérant les avantages et les inconvénients avec une précision mathématique. Pour lui, le mal n’était pas une catégorie morale ; c’était simplement de “l’inefficacité”. Et la crainte de Dieu était une variable irrationnelle qu’il avait éliminée de son équation de vie, il y a longtemps.

Son corps, cependant, a commencé à envoyer des signaux indiquant que quelque chose n’allait fondamentalement pas. Il souffrait de migraines chroniques, d’une tension constante dans les épaules et d’une insomnie qu’aucune application de méditation ne parvenait à guérir. Il ressentait une fatigue profonde, une fatigue qui n’était pas physique, mais qui semblait venir de ses os.

Son médecin, le Dr. Elias, un homme plus âgé et perspicace, est allé droit au but après une batterie d’examens.

“Tiago, tes examens sont parfaits. Physiquement, tu es une machine. Mais tu es malade. Ta maladie s’appelle l’arrogance.”

Tiago rit, mal à l’aise.

“Ce n’est pas un diagnostic médical, docteur.”

“Peut-être est-ce le plus précis que tu n’aies jamais reçu,” répondit le médecin. “Tu traites ta vie comme un code à déboguer. Mais la vie n’est pas un code. Et ton corps paie le prix du stress lié à la tentative de tout contrôler. Tu te considères trop sage, et cette arrogance te consume de l’intérieur.”

Tiago rejeta le conseil comme une absurdité. Mais la graine du doute était plantée.

Le point de rupture est venu par l’intermédiaire de son grand-père, monsieur Ramiro, un menuisier à la retraite que Tiago visitait par un mélange d’obligation et d’affection. Un samedi après-midi, il trouva son grand-père dans l’atelier du fond, ponçant un morceau de bois avec une patience infinie. L’air sentait le cèdre et la paix.

“Je suis épuisé, grand-père,” se confia Tiago, quelque chose qu’il n’admettrait jamais à son équipe. “J’ai l’impression que mes os sont fatigués.”

Ramiro cessa de poncer. Il essuya la sueur de son front avec le dos de sa main et regarda son petit-fils.

“La fatigue des os est une fatigue de l’âme, mon fils. Cela arrive quand on essaie de porter le monde sur ses épaules. Le monde est trop lourd.”

“Mais je dois le porter,” insista Tiago. “Si je ne le fais pas, tout s’effondre.”

“C’est là que tu te trompes,” dit le grand-père, avec un sourire gentil. “Sais-tu quel est le bois le plus fort ? Ce n’est pas le plus rigide. C’est celui qui sait se plier avec le vent, celui qui respecte une force plus grande que la sienne. Tu es intelligent, Tiago. Mais ne confonds pas intelligence et sagesse. Être sage à ses propres yeux est l’arbre le plus facile à briser.”

Il prit sa vieille Bible sur l’établi.

“Ton problème n’est pas le manque de repos. C’est le manque de crainte. Non pas la peur qui paralyse, mais le respect qui nous remet à notre juste place. Quand tu crains le Seigneur, tu comprends que tu n’as pas besoin d’avoir toutes les réponses. Tu t’éloignes du mal de vouloir être Dieu dans ta propre vie. Et tu sais ce qui se passe ? Ton corps se détend. Tes os trouvent du réconfort.”

Les mots du grand-père, si simples et analogiques, pénétrèrent l’armure de données de Tiago d’une manière qu’aucun diagnostic médical n’avait réussi à faire. Il regarda ses propres mains, toujours en train de taper, de contrôler, d’optimiser. Et il regarda les mains de son grand-père, calleuses, mais sereines.

Cette semaine-là, Tiago fit quelque chose de radicalement inefficace. Il prit un après-midi de congé. Non pas pour une “recharge stratégique”, mais juste pour marcher sans but dans un parc. Il désactiva les notifications de son téléphone. Il s’assit sur un banc et observa les arbres, les enfants, les nuages.

Il essaya de prier. C’était maladroit. Il ne demanda rien. Il reconnut simplement, pour la première fois, qu’il n’était pas le centre de l’univers. Qu’il y avait une sagesse bien plus grande que la sienne, un Concepteur derrière tout le système. Ce fut un acte d’humilité, un “éviter le mal” de sa propre arrogance.

La migraine ne disparut pas du jour au lendemain. Mais, à la fin de cet après-midi, il ressentit quelque chose qu’il n’avait pas ressenti depuis des années. Une légèreté dans les épaules. Un silence dans son esprit. Un réconfort subtil, mais réel, qui semblait atteindre ses os. Il commençait seulement à apprendre que la vraie santé ne venait pas d’un algorithme, mais d’un abandon.

(Fabriqué avec l'IA)

Ce conte fait partie de mon livre Sagesse Quotidienne

https://books2read.com/u/m2ADyk

lundi 6 octobre 2025

Le Chrétien et la Création : Prendre Soin de la Nature est un Acte d’Adoration

Ces derniers temps, j'ai réfléchi à plusieurs aspects de la vie chrétienne moderne et j'ai été surpris par certaines de mes conclusions. Au milieu de cet océan de pensées, je naviguais dans une mer quasiment inexplorée par la plupart d'entre nous, chrétiens : l'importance de la préservation de l'environnement.

J'ai réfléchi un peu et j'ai cherché dans ma mémoire une prédication ou une conversation que j'aurais eue avec quelqu'un à ce sujet, et à ma grande surprise, je n'ai rien trouvé. J'ai interrogé ma femme, qui est chrétienne depuis plus longtemps que moi, et sa recherche n'a abouti à rien non plus.

Prenez un moment pour chercher dans votre mémoire quelque chose sur ce thème…

Je suppose que votre conclusion est la même. Dans le milieu chrétien, nous ne parlons pas de la nature, de l'environnement, de l'écosystème, de la préservation environnementale ou d'autres sujets connexes.

Genèse 2:15

L'Eternel Dieu prit l'homme et le plaça dans le jardin d'Eden pour qu’il le cultive et le garde.

En réalité, nous ne nous en souvenons que dans certaines situations spécifiques :

  • Calamité ou tragédie environnementale
  • Crises climatiques
  • Sécheresses prolongées
  • Pluies et inondations

Lorsque l'une de ces choses se produit, nous nous souvenons que Dieu contrôle cet aspect de notre monde. Mais en dehors de cela, il semble que nous vivions une sorte d'“apathie environnementale”. C'est comme si nous ne nous souciions pas de la déforestation, de la pollution de l'air et de l'eau, de l'extinction des animaux, des crimes environnementaux, etc. Tout semble permis et faire partie de l'existence. Il n'y a pas de préoccupation, du moins elle n'est pas manifeste, pour tout ce qui se passe.

En considérant les thèmes les plus récurrents dans les prédications des principales églises, il est possible de comprendre l'une des raisons de cette apathie. De nombreux pasteurs et prédicateurs sont focalisés sur les réussites et la croissance économique des fidèles. La prospérité et la domination du monde sont à leur apogée. Cependant, ils éclipsent d'autres aspects beaucoup plus importants dans la vie du chrétien, comme l'accent mis sur le Salut par le sang de Jésus-Christ (une discussion pour une autre fois) et aussi l'importance de préserver tout ce que Dieu a créé.

Nous agissons comme des adolescents qui organisent une fête et détruisent la maison lorsque leurs parents sont sortis. Même en sachant qui est le propriétaire de tout, Dieu, nous le méprisons et ne pensons qu'au bénéfice immédiat : détruire et consommer.

Psaumes 24:1

C’est à l’Éternel qu’appartient la terre avec tout ce qu’elle contient, le monde avec tous ceux qui l’habitent.

Cela peut sembler exagéré, mais prenons quelques exemples simples. Les églises utilisent des gobelets jetables pour servir la Sainte-Cène. Dans toutes, il y a des gobelets jetables près des fontaines à eau pour les membres réguliers et les visiteurs. L'erreur commence déjà dans la production de déchets qui pourraient être réduits, voire évités.

Pour couronner ce mépris des questions environnementales, nous avons la question du positionnement politique des églises. La plupart d'entre elles (je parle pour le Brésil) sont pratiquement à genoux devant les idéaux de la droite et de l'extrême-droite, et l'écologisme est devenu un sujet de gauche (certains “chrétiens” les qualifient de satanistes) et quelque chose qui va à l'encontre du progrès de la société. Bref, défendre l'environnement n'est pas la mission des “chrétiens”.

Le plus triste dans tout cela est de voir quotidiennement les répercussions de la négligence du peuple de Dieu. Tout est systématiquement détruit et personne ne fait rien. Les enfants du Dieu Créateur (Elohim) pensent qu'ils sont la seule création et oublient que tout a été fait par Lui.

Romains 8:19-22

De fait, la création attend avec un ardent désir la révélation des fils de Dieu. En effet, la création a été soumise à l’inconsistance, non de son propre gré, mais à cause de celui qui l'y a soumise. Toutefois, elle a l'espérance d'être elle aussi libérée de l'esclavage de la corruption pour prendre part à la glorieuse liberté des enfants de Dieu. Or nous savons que, jusqu'à maintenant, la création tout entière soupire et souffre les douleurs de l'accouchement.

Nous devons changer d'urgence notre façon de penser et d'agir en ce qui concerne la nature et notre planète.

Apocalypse 11:18

Les nations se sont irritées, mais ta colère aussi est venue; voici le moment de juger les morts, de récompenser tes serviteurs les prophètes, les saints et ceux qui craignent ton nom, petits et grands, et de détruire ceux qui détruisent la terre.

Nous devons reconnaître humblement nos erreurs passées et commencer à construire un nouvel avenir pour l'environnement. Je crois que c'est aussi un acte de louange et d'adoration à Dieu, de reconnaître sa merveilleuse création et de faire de notre mieux pour la préserver.

Nous attendons avec impatience le retour du Christ et un monde nouveau et parfait, mais en attendant que cela n'arrive, faisons de notre mieux pour prendre soin de ce monde imparfait.

2 Pierre 3:13-14

Mais nous attendons, conformément à sa promesse, un nouveau ciel et une nouvelle terre où la justice habitera. C'est pourquoi, bien-aimés, dans cette attente, faites tous vos efforts pour qu'il vous trouve sans tache et irréprochables dans la paix.

dimanche 5 octobre 2025

Le vrai christianisme

Le christianisme est plus qu’un enseignement,

Le christianisme n’est pas seulement une religion.

Le christianisme, c’est croire en Jésus-Christ,

Et croire qu’il est dans chaque cœur.


Suivre Christ, ce n’est pas suivre une philosophie,

Le suivre, c’est laisser le Saint-Esprit agir.

Son action changera toute votre vie.

Vous pourrez faire des choses que vous ne pouviez pas faire auparavant.


Être chrétien, c’est servir le Dieu incarné,

Celui qui a été crucifié il y a deux mille ans.

Il a été mis à mort et enseveli devant tout le monde,

Après trois jours dans un tombeau,

Il est ressuscité et a été vu et glorifié par beaucoup.


Jésus est monté au ciel et a laissé le Consolateur,

Pour le vrai chrétien, c’est l’assistant,

Le Saint-Esprit, envoyé par le Seigneur.

Il enseignera toutes les choses de Dieu,

Et nous rappellera les merveilles de Dieu.


Le vrai chrétien croit au Dieu vivant,

Le Dieu qui s’est manifesté en Jésus-Christ,

Le Dieu décrit aux hommes à travers un livre.


Ce poème fait partie du livre Poésie Chrétienne Volume III.

Voir le livre :

https://books2read.com/u/4AlZ0e

jeudi 2 octobre 2025

Le plus grand sacrifice

Oh Seigneur, comment puis-je te plaire ?

Que puis-je faire pour obtenir ton approbation ?

Je pourrais faire un sacrifice financier,

Mais que donner à celui qui est Dieu et qui possède tout ?


Il y a une chose très précieuse que je peux donner,

Mon cœur, je peux te le remettre,

Obéissant à tes lois et à tes statuts.

Gardant mon cœur sincère et pur.


Dans ma vie, le Seigneur régnera toujours,

Ta parole me guidera chaque jour.

De cette façon, je peux obtenir ta faveur.

Et le Seigneur bénira ma vie.


Dieu ! Ta grâce est merveilleuse !

Avec le Seigneur, ma vie est glorieuse.

Tes bénédictions sont toujours avec moi.

Merci, Seigneur, pour tes miséricordes.

Merci d’être mon meilleur ami.


Ce poème fait partie du livre Poésie Chrétienne Volume I.

Voir le livre :

https://books2read.com/u/baXMay